La soubrette

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il y a 7 ans

La soubrette

Depuis quelques semaines, je me rendais de façon hebdomadaire chez une Maîtresse du Nord de la France que j'avais rencontré via Internet. Elle avait 24 ans, était étudiante mais louait un bel appartement et était très mignonne. D'un commun accord, nous avions décidé que je serai sa soubrette.

Chaque fois, le rituel était le même : à mon arrivée, et sans prononcer un mot, elle me montrait un grand sac où était rangé tout le matériel. Elle avait été elle-même m'acheter mes fringues en m'affirmant que pour tout ce que j'allais faire, ce n'était pas cher payé.

Je revêtais alors ma tenue : une minijupe noire avec deux bandes de dentelle blanche et un petit tablier blanc (photo ci-contre), un porte-jarretelles avec des bas noirs assortis, un string noir en satin, des escarpins en vinyl (taille 42!), et un bustier rose à lacets, rembourré aux seins. Elle me maquillait ensuite légèrement et me mettait une perruque de longs cheveux châtains pour parfaire l'aspect.

Cela fait, je devais alors m'agenouiller devant elle et elle me passait des bracelets de cuir noir aux chevilles et au-dessus des coudes, ainsi qu'un collier. Elle reliait alors mes chevilles par une courte chaîne de 15 cm, ainsi que mes coudes, reliés dans mon dos par un cadenas. Elle aimait me voir ainsi, humilié et avec des mouvements réduits à leur strict minimum. Mes coudes étant bloqués en arrière, je pouvais uniquement bouger légèrement mes mains devant moi, ce qui était suffisant pour ce qui m'attendait : le ménage.

Elle complétait toujours mon harnachement par un harnais composé de lanières en cuir qui entouraient ma tête et maintenaient un bâillon-boule dans ma bouche. Une fois le harnais bien serré, elle me contemplait et disait en riant :

  • De toutes façons, une bonniche n'a quand même pas besoin de pouvoir parler !

Ma Maîtresse me donnait alors un plumeau rose et je devais commencer par enlever toutes les poussières de son appartement. A cause de mes chaînes, je faisais des petits pas, et cette simple tâche me prenait environ 1h. De plus, après 15 ou 20 minutes, je bavais partout à cause du bâillon et ma Maîtresse y prenait un plaisir sadique :

"J'adore te voir ainsi réduit à ta condition naturelle, celle d'esclave, docile, humilié et bavant partout. Je dois te l'avouer, ça m'excite assez bien..."

Pendant mon ménage, elle me suivait partout avec une cravache en main et s'il restait un seul grain de poussière oublié, elle sautait sur l'occasion pour me punir sévèrement de 10 coups de cravache bien sentis sur les fesses. Et ça fait mal, la cravache.

La semaine dernière, elle m'avait réservé une surprise différente des autres fois. A peine étais-je habillé en soubrette qu'elle m'annonça :

  • Pas de ménage aujourd'hui, mais mets-toi à genoux comme d'habitude, mains dans le dos"!

Elle m'attacha alors les poignets et les coudes bien serrés avec de la corde blanche. Elle avait également acheté un nouveau bâillon : un bâillon-gode, c'est-à-dire une lanière de cuir qui maintient un gode court mais large dans la bouche.

  • J'espère que ce bâillon emplit bien ta petite bouche ma soubrette ! J'ai envie que tu ressentes quel effet ça fait de sucer...

Elle me traîna alors dans sa chambre, me poussa à plat ventre sur le lit et m'annonça :

  • Aujourd'hui, j'ai envie de te sodomiser, ça achèvera ta transformation en soubrette. Je vais te prendre par derrière, de gré ou de f o r c e , et ne t'inquiètes pas : je compte te prendre bien profond.

J'ai ensuite entendu un cliquetis, comme un bruit de ceinture qu'on boucle, et quelques secondes plus tard, elle est réapparue devant moi affublée d'un gode ceinture noir, un sourire aux lèvres.

  • Alors, ça te plaît ?

J'ai étouffé un son comme "hhmmmff" dans mon bâillon. Elle s'est alors couchée au-dessus de moi, m'a écarté les jambes avec ses genoux, m'a mis du lubrifiant entre les fesses et y a ensuite positionné le gode.

  • Tu vas voir ce que tu vas prendre, m'a-t-elle chuchoté à l'oreille...

Elle a alors commencé à donner de petits coups de reins pour enfoncer doucement le gode en moi. Je le sentais me pénétrer de plus en plus loin. Une fois au bout, elle est restée comme ça plus d'une minute, sans bouger, pour habituer mon cul à cet objet. C'est alors qu'elle a commencé à faire des vas et vients, d'abord lents puis de plus en plus rapides. Au bout de quelques minutes, elle a encore accéléré la cadence, me faisant presque rebondir sur le lit tant elle me pilonnait. Je poussais des gémissements de plus en plus forts, tandis qu'elle haletait :

  • Ca te plaît de te faire sodomiser hein ? Je savais que t'aimerais ça. Moi j'adore te défoncer en tout cas !

Apparemment, elle avait l'air de prendre son pied autant je prenais le mien. Au bout de dix minutes, j'étais tellement excité que j'ai fini par éjaculer dans ma jupe, mais elle me secouait tellement que je ne crois pas qu'elle l'ait remarqué. Je me demandais alors si elle allait s'arrêter car, à ce régime, ma vue commençait se brouiller. Elle a du lire dans mes pensées car elle m'a dit :

  • T'aimerais que j'arrête hein ? Mais c'est moi qui décide, je suis la Maîtresse et tu n'es qu'une soubrette, alors je t'enculerai pendant des heures si je veux, comme tu le mérites !

Elle a continué à me prendre comme ça pendant encore vingt minutes, en diminuant parfois la cadence, et parfois en la ré-augmentant. J'ai eu un deuxième orgasme. Elle s'est ensuite retirée, en nage, et m'a annoncé :

  • Dorénavant, chaque fois que tu viendras, après ton ménage, tu auras droit à ce traitement...
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